2896. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), "L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) exigea des gens de Khaybar la moitié des produits du sol : fruits ou grains".
2904. D'après Anas Ibn Mâlik (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Chaque fois qu'un musulman plante un arbre ou sème une semence, il aura à son actif comme aumône tout ce qui aura été mangé du produit de cette plante par un oiseau, un homme ou un quadrupède".
2906. D'après Anas Ibn Mâlik (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a interdit la vente des dattes tant qu'ils ne sont pas encore mûres. Et, comme on demanda à Anas : "Comment elles deviennent mûres?". Il répondit : "Quand elles deviennent rouges ou jaunes". Puis, il ajouta : "Ne vois-tu pas que si Dieu empêche le fruit (de mûrir), comment l'un de vous prendra-t-il injustement le bien d'autrui".
2911. 'Aïcha (que Dieu l'agrée) a dit : L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) entendit près de la porte le bruit d'une contestation entre deux hommes qui élevaient la voix. L'un d'eux demanda qu'on réduisît sa dette ou qu'on lui accordât des facilités de payement; alors que l'autre dit : "Non, par Dieu! Je n'en ferai rien". L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) sortit et, se dirigeant vers eux, dit : "Où est celui qui jure par Dieu qu'il ne fera pas une bonne action?". - "Moi, ô Envoyé de Dieu", répondit l'un d'eux et il ajouta : "Je lui accorde celle des deux options (réduction de la dette ou facilités de paiement) qu'il préfère".
2912. Ka'b Ibn Mâlik (que Dieu l'agrée) rapporte qu'il demandait le règlement d'une dette qu'il avait sur Ibn 'Abî Hadrad. La scène se passait dans la mosquée du temps de l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم). Comme tous deux élevèrent la voix, l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم), qui était dans sa chambre, les entendit; et vint les trouver. Soulevant le rideau de sa chambre, il (صلى الله عليه وسلم) interpella Ka'b Ibn Mâlik. - "Hé! Ka'b", s'écria-t-il. - "Me voici, ô Envoyé de Dieu", répondit Ka'b. Le Prophète lui fit de la main signe de réduire la dette à sa moitié. "C'est fait, ô Envoyé de Dieu", dit Ka'b. - "Maintenant, dit l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) au débiteur, lève-toi et paye-lui".
2913. Abou Hourayra (que Dieu l'agrée) a dit : J'ai entendu l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) dire : "Celui qui trouve un bien intact qui lui appartenait chez un homme en déconfiture, a plus de droit de le récupérer que tout autre".
2917. D'après Houdhayfa (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : Ayant recueilli l'âme d'un homme qui vivait avant vous, les anges lui demandèrent : "As-tu fait un bien quelconque?" - Il leur répondit : "Non". Ils répliquèrent : "Souviens-toi". - Il leur dit : "Je faisais des prêts aux gens et alors, je demandais à mes commis d'accorder un délai à l'homme gêné et de faire remise à l'homme aisé". Dieu à Lui la puissance et la gloire dit aux anges : "Faites-lui une remise (de ses péchés)".
2921. D'après Ibn Abou Mas'ûd (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "On (c'est Dieu qu'il faut entendre par ce pronom indéfini) demanda son compte à un homme qui vivait avant vous. On trouva qu'il n'avait fait aucun bien, sauf qu'il faisait du commerce et qu'il était riche, alors il ordonnait à ses commis de faire des réductions à ceux qui étaient dans la gêne". Dieu, à Lui la puissance et la gloire, dit : "C'est nous qui avons plus de droit d'agir de la sorte, accordez à cet homme le pardon de ses fautes!"
2922. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Il y avait un homme qui prêtait les gens et qui disait à son commis : "Quand tu trouves un homme insolvable, fais-lui grâce (de sa dette), afin que Dieu nous fasse grâce". Cet homme ayant rencontré Dieu, Celui-ci lui fait grâce.
2924. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "L'homme solvable qui tarde à s'acquitter commet une iniquité et si un homme riche parmi vous reçoit une délégation de créance sur un homme insolvable, il doit l'accepter".
2927. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "On ne doit pas refuser le superflu de l'eau, pour ne pas empêcher le pâturage de pousser".
2930. D'après Abou Mas'ûd Al-Ansâri (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a interdit de prélever un prix pour un chien, une rétribution pour la fornication et un salaire pour la divination.
2934. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) ordonna de tuer les chiens.
2940. D'après Ibn 'Omar (que Dieu agrée le père et le fils), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Quiconque se sert d'un chien, à moins que ce ne soit un chien de berger ou un chien de chasse, diminue son contingent de bonnes oeuvres chaque jour de deux qîrât".
2947. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Quiconque détient un chien, à moins qu'il ne soit un chien de chasse, de troupeau ou de champ, se verra retrancher chaque jour deux qîrât de (la récompense de) ses oeuvres".
2951. D'après Sufyân Ibn 'Abî Zuhayr (que Dieu l'agrée), j'ai entendu l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) dire : "Quiconque possède un chien dans un autre but que la garde de ses champs ou de ses troupeaux, verra la récompense de ses oeuvres diminuée journellement d'un qîrât".
2952. Anas Ibn Mâlik, interrogé au sujet du salaire des ventouses, répondit : "L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) se fit mettre des ventouses par Abou Tayba et lui donna (pour salaire) deux sâ' de nourriture, ordonna à ses maîtres de diminuer la redevance qu'ils exigeaient de lui et dit : "Le remède le plus approprié, c'est l'application des ventouses, ou c'est votre meilleur remède".
2958. 'Aïcha (que Dieu l'agrée) a dit : Quand les derniers versets de la sourate Al-Baqara (la vache) furent révélés, l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) sortit (de son appartement) et les récita aux fidèles. Ensuite, il prohiba le commerce du vin.
2960. Récit rapporté d'après Jâbir Ibn 'Abdoullâh (que Dieu agrée le père et le fils) : Il a entendu l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) dire, l'année de la conquête, alors qu'il était à La Mecque : "Dieu et Son Envoyé ont défendu la vente du vin, des animaux crevés, du porc et des idoles". Et comme on lui disait : "Ô Envoyé de Dieu que penses-tu des graisses des animaux crevés, qui servent à enduire les vaisseaux, à graisser les peaux et à alimenter les lampes du peuple?". - "Non, répondit-il, cela est interdit". Puis, l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) ajouta : "Que Dieu maudisse les juifs! Quand Dieu, à Lui la puissance et la gloire, leur avait interdit l'usage des graisses des animaux crevés; ils les ont fait fondre, les ont vendues et en ont employé le prix à leur subsistance".
2961. D'après (que Dieu l'agrée), Ibn 'Abbâs a dit : ayant appris que Samura avait vendu du vin, s'écria : "Que Dieu maudisse Samura! Ne sait-il donc pas que l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : Que Dieu maudisse les juifs! Bien qu'on leur ait interdit l'usage des graisses (des animaux crevés) et ils les ont fait fondre et les ont vendues".
2962. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Que Dieu maudisse les juifs! Bien que Dieu leur ait interdit l'usage des graisses (des animaux crevés), ils les ont vendues et en ont mangé le prix".
2964. D'après Abou Sa'îd Al-Khoudri (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Ne vendez l'or contre l'or qu'égalité à égalité et que l'un de vous n'en donne pas plus que l'autre. Ne vendez l'argent contre l'argent qu'égalité à égalité et que l'un de vous n'en donne pas plus que l'autre. Ne vendez aucun de ces (métaux précieux) non présents contre un objet présent".
2968. D'après 'Omar Ibn Al-Khattâb (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Echanger l'argent contre l'or, comporte de l'usure à moins que l'échange ne soit fait simultanément. Echanger du froment contre du froment, comporte de l'usure à moins que l'échange ne soit fait simultanément. Echanger de l'orge contre l'orge, comporte de l'usure à moins que l'échange ne soit fait simultanément. Echanger des dattes contre des dattes, comporte de l'usure à moins que l'échange ne soit fait simultanément".
2975. D'après Al-Barâ' Ibn 'Azib (que Dieu l'agrée), Abou Al-Minhâl a dit : L'un de mes associés avait vendu des dirhams en argent livrables à terme - ou au Hajj (temps de la livraison). Il vint me raconter cette affaire. - "Une telle transaction est défendue", m'écriai-je. - "J'ai fait cette vente au marché et personne n'y a trouvé à redire", répondit mon associé. Alors j'allai trouver Al-Barâ' Ibn 'Azib pour le questionner à ce sujet. - "Quand le Prophète vint à Médine, répondit celui-ci, nous pratiquions ce mode de vente. Mais le Prophète dit : Si le paiement est fait sur place, il n'y aura aucun inconvénient, mais si le paiement est différé à terme, ce sera de l'usure. Va trouver Zayd Ibn Arqam et questionne-le là-dessus, car il est un grand négociant". J'allai alors interroger Zayd Ibn Arqam qui me donna la même réponse.
2977. Abou Bakra (que Dieu l'agrée) a dit : l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a interdit la vente de l'argent contre l'argent et de l'or contre l'or à moins qu'il ne soit égalité à égalité. Il nous a ordonnés d'acheter l'argent contre l'or comme bon nous semble et d'acheter l'or contre l'argent comme bon nous semble. Un homme lui demanda (au sujet du mode du paiement) - "De main en main", lui répondit-il. C'est ce que j'ai entendu (de l'Envoyé de Dieu)".
2983. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) installa un agent des Banû 'Adî Al-Ansâri, à Khaybar. Cet agent ayant venu avec des dattes d'une bonne espèce dite janîb, l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) lui demanda si toutes les dattes de Khaybar étaient de cette qualité. - "Non, par Dieu, ô Envoyé de Dieu, répondit l'agent; en échange d'un sâ' de ces dattes, nous vendons deux sâ' d'une mauvaise qualité dite jam'". - "Ne fais plus cela, répondit l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم), mais égalité à égalité, ou plutôt vends ces dattes (de qualité médiocre) contre de l'argent, puis de cet argent achète de dattes (de bonne qualité). C'est ainsi qu'on pèse".
2985. D'après Abou Sa'îd Al-Khoudri (que Dieu l'agrée) : Bilâl ayant apporté au Prophète des dattes (de bonne qualité) dites barnî, l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) lui demanda d'où provenaient ces dattes. - "J'avais, répondit Bilâl, des dattes de mauvaise qualité et j'en ai vendu deux sâ' contre un sa' de barnî pour servir le Prophète (صلى الله عليه وسلم)". L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) s'écria alors : "Hélas! Mais c'est de l'usure pure! N'agis plus ainsi et, si tu veux acheter des dattes (barnî), vends les dattes (de qualité médiocre) contre de l'argent et achète ensuite des dattes (de qualité supérieure)".
2988. Abou Nadra a dit : J'ai interrogé Ibn 'Abbâs sur le troc de l'or contre l'or, de l'or contre l'argent ou de l'argent contre l'or. Il m'a dit : "L'échange serait-il de main à main?". Quand j'ai répondu par l'affirmative, il a dit : "Il n'y a pas de mal à le faire". J'ai informé alors Abou Sa'îd, en disant : "J'ai interrogé Ibn 'Abbâs sur le troc de l'or contre l'or, de l'or contre l'argent ou de l'argent contre l'or. Il m'a dit : "L'échange serait-il de main à main?". Quand j'ai répondu affirmativement, il a dit : "Il n'y a pas de mal à le faire". Abou Sa'îd a dit : "Est-ce qu'il a dit cela vraiment?! Je lui écrirai à propos de cela : il ne doit pas vous faire des fatwas. Par Dieu, un jour quelques jeunes gens ont apporté des dattes à l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم). L'ayant méconnu, le Prophète a dit : Il semble que ces dattes ne sont pas le produit de notre terre. L'un d'eux a dit : 'La datte de notre terre, ou notre datte cette année était mauvaise, j'ai alors pris cela (la datte de bonne qualité) contre une grande quantité de la nôtre'. Le Prophète s'écria donc : 'C'est de l'usure. N'agis jamais de la sorte. Au cas où tu aurais des doutes sur la qualité de tes dattes, vends-les, puis achète les dattes bonnes que te semblent'.
2990. Abou Sa'îd Al-Khoudri (que Dieu l'agrée) a dit : "Dinar contre dinar et dirham contre dirham, égalité à égalité, celui qui donne davantage ou demande davantage est, en effet, un usurier". Je lui fis observer qu'Ibn 'Abbâs ne s'était pas exprimé ainsi. "Alors, dit Abou Sa'îd, je rencontrai Ibn 'Abbâs et lui demandai s'il avait entendu cette prescription de la bouche de l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) ou s'il l'avait trouvée dans le livre de Dieu, à Lui la puissance et la gloire". "Je n'ai pas entendu cela de la bouche de l'Envoyé de Dieu et je ne l'ai pas trouvé dans le livre de Dieu, répondit-il, mais, c'est Ousâma Ibn Zayd qui m'a informé que le Prophète (صلى الله عليه وسلم) avait dit : Il n'y a usure à moins qu'il n'y ait terme".
2991. D'après Ousâma Ibn Zayd (que Dieu agrée le père et le fils) le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Il n'y a usure à moins qu'il n'y ait terme".
2996. An-Nu'mân Ibn Bachîr (que Dieu l'agrée) a rapporté qu' il a entendu l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) dire (et An-Nu'mân mit ses doigts sur ses oreilles) : "Certes ce qui est licite est évident ainsi que ce qui est illicite. Mais entre ces deux catégories, il y a des choses sur lesquelles on peut avoir des doutes et que peu de gens les connaissent. Celui qui se garde des choses douteuses, préserve sa religion et son honneur. Celui qui y tombe, commet ainsi un acte illicite, comme un pâtre qui mène son troupeau paître autour d'un enclos risquant d'y pénétrer. N'est-ce pas chaque souverain a un domaine réservé! Or l'enclos de Dieu sont ses interdictions. En vérité, il y a dans le corps humain un organe, s'il est sain, le corps tout entier sera sain, mais s'il est corrompu, tout le corps le sera entièrement. Eh bien il s'agit du coeur".
3003. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), Un homme étant venu réclamer rudement le règlement de sa créance à l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم). Sur ce, les compagnons du Prophète (صلى الله عليه وسلم) voulurent le châtier. Et le Prophète (صلى الله عليه وسلم) de dire : "Le créancier a le droit de réclamer son dû. Qu'on lui achète un chameau (d'un certain âge) et qu'on le lui donne". "Mais on n'en trouva qu'un meilleur chameau d'un âge plus avancé". "Eh bien! qu'on le lui donne!, s'écria le Prophète, les meilleurs d'entre vous sont ceux qui s'acquittent le mieux de leurs dettes".
3007. D'après 'Aïcha (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم), ayant acheté des grains d'un juif à terme, lui donna sa cotte de mailles en fer comme gage.
3010. Ibn 'Abbâs (que Dieu agrée le père et le fils) a dit : Quand le Prophète arriva à Médine, les gens prêtaient sur les fruits pour un an ou deux ans. - "Que celui qui prête sur des dattes, dit alors le Prophète, le fasse après avoir déterminer la mesure, le poids et le terme".
3014. Abou Hourayra (que Dieu l'agrée) a dit : J'ai entendu l'Envoyé e Dieu (صلى الله عليه وسلم) dire : "Le serment fait accroître le débit de la marchandise, mais fait disparaître la bénédiction du bénéfice".
3016. D'après Jâbir (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Celui qui a un associé à un terrain, une demeure ou une palmeraie, n'a pas le droit de vendre avant de lui proposer l'achat. Si son associé veut acheter, qu'ils concluent l'achat; et s'il refuse, le partenaire aura le droit de disposer du bien".
3019. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), l'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Que l'un de vous n'empêche pas son voisin de planter une poutre dans son mur".
3020. D'après Sa'îd Ibn Zayd Ibn 'Amr Ibn Nufayl (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Celui qui s'approprie injustement d'un empan d'un terrain, Dieu lui en fera un collier (de la pesanteur) de sept terres".
3025. D'après 'Aïcha (que Dieu l'agrée), L'Envoyé de Dieu (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Celui qui s'approprie injustement d'un empan de terre, on lui en fera un collier (de la pesanteur) de sept terres".
3026. D'après Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), le Prophète (صلى الله عليه وسلم) a dit : "Lorsque vous vous disputez au sujet de la largeur d'un chemin (séparant deux propriétés différentes), faites qu'elle soit de sept coudées".